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Próximo Futuro

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05
Abr12

"Les manuscrits trouvés à Tombouctou"

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A l’orée du Sahara et à quelques encablures du fleuve Niger, Tombouctou, au Mali, a longtemps été une cité fermée aux Européens. Carrefour commercial à l’époque des caravanes, elle fut aussi le siège d’une intense vie intellectuelle. Au cours de cet âge d’or, des milliers de livres ont été écrits à la main puis abandonnés à la poussière du désert. On commence à les exhumer. De la nuit de l’oubli émerge ainsi une passionnante histoire de l’Afrique jusqu’à présent ignorée.

A Tombouctou, la progressive découverte de vieux manuscrits, dont certains remontent au XIIIe siècle, est en passe de devenir un enjeu historique pour toute l’Afrique. Plus de 15 000 documents ont déjà été exhumés et répertoriés sous l’égide de l’Organisation des Nations unies pour l’éducation, la science et la culture (Unesco) ; 80 000 autres dorment encore quelque part dans des malles ou au fond des greniers de la ville mythique (1). Ces précieux écrits qui firent la gloire de la vallée du fleuve Niger entre le XIIIe et le XIXe siècle (2), sont menacés de décomposition et de pillage par des trafiquants.

 

 

 

 

Continuar a ler no Le Monde Diplomatique.

04
Abr12

"Disco Angola (in New York City)"

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The photographer Stan Douglas’s new project “Disco Angola,” a work in progress, is on display at the David Zwirner Gallery in New York until April 28, 2012. The New Yorker announced the show in Goings on About Town with the image above. What’s amazing is that Douglas has not been to Angola, though from what I read in this interview with Monica Szewczyk he has done a good bit of studying up.

Here are some of the photos from the show which puts, as Douglas describes it to Szewczyk, postcolonial Angola and postindustrial New York in visual touch, makes capoeira and kung fu “visual rhymes.” I think he is on to something.

 

 

 

 

Stan Douglas: Disco Angola

 

 

Continuar a ler.

03
Abr12

"Mr. Sganzerla, o vencedor"

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Muita gente havia deixado a sala, durante a exibição de Planeta Caracol, no CineSesc, mas sábado à noite, na sala da Rua Augusta, o júri do É Tudo Verdade fez justiça ao belo documentário do chileno Yi Segung-jun e lhe conferiu o prêmio de melhor da competição internacional. Planeta Caracol é sobre um cego e surdo e a mulher que o guia em sua escuridão (mas ele também a completa, numa reciprocidade comovente). O júri internacional considerou o curta Vovós, de Afarin Eshbal, o melhor da categoria. As vovós são as abuelas da Plaza de Mayo e a iraniano/britânica Afarin, que nem fala espanhol, disse numa mensagem ao Festival de Documentários que o que lhe interessou foi o exemplo dessas guerreiras que nunca deixaram de lutar pela verdade na investigação de crimes cometidos pela ditadura militar argentina - um tema de atualidade muito forte no Brasil.

 

 

 

 

 

Continuar a ler no Estado de São Paulo.

03
Abr12

"Une soirée tête de mouton"

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A côté, c'est l'hippodrome de Bamako et une légère odeur de crottin flotte dans l'air nocturne. Demain est prévue sur la grande avenue voisine une étonnante manifestation des turfistes en soutien à la la junte malienne. Au milieu de tout cela, la maquis (restaurant-boîte de nuit) l'Exodus ressemble à un monde de paix et de musique, avec sa clientèle plutôt aisée et son ambiance tolérante.

 

En temps normal, il y a des concerts et des rires pour ces nuits de Bamako sous les étoiles. Mais ce soir, l'assistance est clairsemée. L'ambiance n'est pas à la fête, avec une junte aux pouvoir dont les intentions sont incertaines, avec des rebelles en train de conquérir tout le Nord du pays, et avec la menace de sanctions de la région qui pourraient mettre l'économie à genoux. Sans parler d'autres inquiétudes, plus diffuses: et si un groupe proche d'Al Qaida au Maghreb islamique (Aqmi) profitait du désordre en cours dans la capitale pour y commettre un attentat ? Rien n'est certain, mais le malaise est là.

 

 

 

 

Continuar a ler no Africa Nova.

02
Abr12

"LES DÉLOGÉS DE LAGOS"

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Lagos, capitale économique du Nigeria. Ici, le pétrole est roi, les dollars sont brassés par millions. Le pays est le 11e exportateur mondial d’or noir. Shell, Exxon, Chevron, Total, Agip se pressent en contrebas, dans le delta du Niger, où il affleure la terre. Les dégâts de cette surexploitation sont multiples : détournement de pétrole, corruption des fonctionnaires locaux, pollution des sols, rébellion des populations dans des mouvements armés.

À Lagos, il est une catégorie de victimes dont on ne parle jamais : les expulsés, les délogés, les sans-toits. Ceux qui ont été poussés dehors par l’explosion du prix des terrains. Poussés dehors, en somme, par les expatriés, les nouveaux riches et leur niveau de vie.

 

 

 

 

Continuar a ler no 6MOIS.

02
Abr12

"El mito de Fernando Botero engorda en Latinoamérica"

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Sostiene Botero que nunca en su vida ha pintado “una gorda”. Lo dijo el miércoles en una rueda de prensa en México DF, donde se abre mañana al público en el Palacio de Bellas Artes la mayor exposición que se haya hecho sobre su carrera artística, Botero: una celebración, compuesta por 177 obras que exploran la gordura en todas sus formas.

La irónica afirmación ante la prensa de Fernando Botero (Medellín, 19 de abril de 1932) remite al motivo formal de su arte: la belleza misma del volumen, más que la obesidad humana, animal o de cualquier otro objeto de contemplación. Ya lo dice el escritor peruano Mario Vargas Llosa en un texto incluido en el catálogo de la muestra: “Cuando un crítico le preguntó por qué pintaba ‘figuras gordas’, Botero repuso: ‘No lo son. A mí me parecen esbeltas”.

–¿Y qué le parece a usted esta mujer tan voluminosa? –le pregunta el periodista a una señora mexicana en la explanada frontal del Palacio, donde ya se pueden ver cinco esculturas monumentales de Botero.

 

 

 

Continuar a ler no El País.

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